lundi 14 mars 2011

Vidéo introducteur biodiversité



Publié par: Alvaro D. et Pablo C.

Activités humaines



[1] L'homme a modifié les concentrations en gaz à effet de serre dans l'atmosphère depuis au moins 2 000 ans, et probablement plus. Ceci est la conclusion surprenante d'une nouvelle étude internationale qui a porté sur le méthane emprisonné dans la glace en Antarctique.

Celle-ci révèle qu'il existe de grandes variations dans les teneurs en méthane depuis le début de notre ère. Dominic Ferreti, auteur principal de l'étude et chercheur, attribue cela à la combustion de la biomasse. En effet, le méthane est un gaz à effet de serre majeur qui est émis soit par les incendies, soit par une activité microbienne anaérobie en agriculture, chez les animaux d'élevage et dans des sources naturelles. A priori, les chercheurs chercheurs s'attendaient à voir une augmentation lente de la concentration de méthane jusqu'au début de la Révolution Industrielle vers la fin du 18e siècle.

On a réussi pour la première fois à séparer les sources de méthane "pyrogène" (par le feu) et les sources anaérobies par une analyse d'isotopes stables dans les carottes de glace. Les résultats indiquent que les émissions de méthane par le feu avaient diminué d'environ 40% entre l'an mil et 1700, probablement par une baisse des feux de forêts provoqués par les populations indigènes des Amériques, populations décimées par les maladies importées de l'Europe.

[2] Depuis l’ère industrielle, le phénomène naturel qu’est l’effet de serre est amplifié par les activités humaines émettrices de gaz qui absorbent les rayonnements dans l’infrarouge thermique. La modification de l’atmosphère qui en résulte conduit à un effet de serre "additionnel", qui se traduit par un réchauffement global, et au delà par une modification du système climatique de la planète.

Publié par: Alvaro D.

dimanche 13 mars 2011

Biodiversité


[1] Définition: La biodiversité est la diversité naturelle des organismes vivants. Elle s'apprécie en considérant la diversité des écosystèmes, des espèces, des populations et celle des gènes dans l'espace et dans le temps, ainsi que l'organisation et la répartition des écosystèmes aux échelles biogéographiques. Trois grands niveaux: La diversité biologique est la diversité de toutes les formes du vivant à ses différents niveaux d'organisation. Elle est traditionnellement subdivisée en trois niveaux (il existe de nombreux niveaux intermédiaires : paysages, communautés, etc.) :La diversité génétique, elle se définit par la variabilité des gènes au sein d’une même espèce ou d’une population. Elle est donc caractérisée par la différence de deux individus d’une même espèce ou sous-espèce (diversité intraspécifique ou infraspécifique). La diversité spécifique, correspond à la diversité des espèces (diversité interspécifique). Ainsi, chaque groupe défini peut alors être caractérisé par le nombre des espèces qui le composent, voir taxinomie. Cependant, pour caractériser le nombre de plan d'organisation anatomique, il est préférable d'employer le terme de disparité. La diversité écosystémique, qui correspond à la diversité des écosystèmes et biomes présents sur Terre, des interactions des populations naturelles et de leurs environnements physiques. Selon les néo-darwinistes, le gène est l'unité fondamentale de la sélection générale, donc de l'évolution, et certains, comme E.O. Wilson, estiment que la seule biodiversité « utile » est la diversité génétique. Cependant, en pratique, quand on étudie la biodiversité sur le terrain, l'espèce est l'unité la plus accessible.


[2] Les deux notions essentielles: la biodiversité c’est « tout le vivant » , donc l’homme en fait partie. la biodiversité c’est la dynamique des interactions. Or si l’on parle maintenant autant de biodiversité, c’est bien à cause d’interactions essentielles dont celles causées par nos activités.


Publié par: Pablo C.